Incontinence et protections absorbantes: une solution coûteuse pour un problème récurrent

incontinence-et-protections-absorbantes-une-solution-couteuse-pour-un-probleme-recurrent

On ne se contente pas d’un diachylon lorsqu’on subit une fracture. Pourquoi? Parce qu’une solution superficielle ou inappropriée ne peut pas traiter efficacement un problème profond ou sérieux. De la même façon, bien qu’elles peuvent s’avérer efficaces jusqu’à un certain point, les protections hygiéniques apaisent sans régler la problématique et viennent avec un coût insoupçonné non négligeable. Un remède coûteux qui alimente un cercle vicieux…

Les coûts monétaires liés à l’incontinence

Chaque année, des milliers (voire des millions) de personnes déboursent des sommes astronomiques pour contenir les fuites qu’elles expérimentent en raison de leur incontinence. Des études ont d’ailleurs révélé que cela peut représenter jusqu’à 1500$ en dépenses annuelles. En effet, selon les données recueillies par la Fondation d’aide aux personnes incontinentes, l’impact monétaire se fait sentir à plusieurs niveaux

  • Employabilité : 11 millions de jours de travail sont perdus annuellement par les employeurs en raison de l’incidence de cette condition.

  • Productivité : dans le même sens, on évalue à 1,5G$ les pertes financières engendrées par l’absentéisme (honte, fuites trop fréquentes, congés de maladie) ou bien la diminution de la productivité (pauses fréquentes, tâches réduites).

  • Le système de santé : en raison des complications possibles (infection, dysfonctions sexuelles) ou de la détresse émotionnelle rattachée à la problématique (stress, honte, anxiété, dépression), l’incontinence urinaire représente une facture annuelle de près de 2 milliards de dollars au système de santé canadien, refilée aux contribuables.

Ces répercussions significatives sur le plan monétaire ne témoignent-elles pas d’un besoin criant de s’affranchir des méthodes qui ne règlent pas la cause sous-jacente? Globalement, c’est une facture de 5,6G$ qui est absorbée par les Canadiens (jeu de mots bien involontaire). Les personnes qui souffrent d’incontinence ne méritent-elles pas plus qu’une stratégie de surface qui ne fait que masquer les symptômes?

Les protections hygiéniques : un fardeau économique, une boucle sans fin

Si, là où nous sommes, une chaleur accablante résulte en une déshydratation constante, boire de l’eau demeure une réponse adéquate, mais limitée : il vaudrait mieux changer d’endroit. Cette analogie, appliquée à l’incontinence, positionne les protections absorbantes (culottes, protège-dessous, serviettes) comme un moyen de contenir (jeu de mots bien involontaire) le problème plutôt que de l’adresser une fois pour toutes. Par conséquent, la personne aux prises avec cet enjeu est « condamnée » à répéter le cycle, ce qui vient avec une facture non seulement salée, mais surtout récurrente. Une pression économique qui s’ajoute aux nombreux inconvénients inhérents à l’incontinence urinaire. Preuve à l’appui, des millions de dollars sont investis chaque année dans l'achat de produits pour l'incontinence. Une demande constante et en hausse qui, d’ailleurs, est celle qui, parmi les catégories de produits d’hygiène personnelle, subit la croissance la plus rapide.

On prévoit que d’ici 2025, les dépenses reliées aux protections hygiéniques pourraient atteindre les 35 millions de dollars.


L’amélioration de la qualité de vie des personnes concernées passerait-elle par une réorientation des ressources vers des solutions plus innovantes et efficaces?

EMSELLA : investir dans une qualité de vie

Une chose est claire : les protections anti-fuites n’ont rien d’un investissement. Au contraire, en plus des coûts récurrents, elles peuvent même alimenter la détresse alors qu’elles représentent un rappel quotidien des méfaits de l’incontinence urinaire. Dans de telles circonstances, si une solution éprouvée, rapide et efficace existait, toutes ces personnes mériteraient d’en bénéficier.

En agissant sur l’ensemble des muscles du plancher pelvien, la technologie EMSELLA fait beaucoup plus que simplement contenir le problème : elle agit à la source en renforçant la région responsable de la continence. Ce faisant, la dépendance aux produits absorbants devient chose du passé pour ceux et celles qui en souffrent. À vrai dire, 67% des gens qui ont bénéficié de cette alternative aux résultats spectaculaires rapportent avoir réduit ou totalement éliminé l'utilisation de protections. Comme quoi un investissement unique et durable dans son bien-être comporte beaucoup plus d'avantages que de « contrôler » la problématique éternellement. Et bientôt, l’accès à cette cure révolutionnaire pourrait passer par les pharmacies, un endroit accessible qui rime avec confiance et proximité. Parce que s’offrir ou donner accès à cette solution de santé novatrice signifie avant tout investir dans la qualité de vie!


De toute évidence, les protections hygiéniques, malgré le soulagement temporaire qu’on peut leur attribuer, ne font que masquer le problème de l'incontinence urinaire sans le résoudre tout en engendrant des coûts récurrents et élevés. Elles perpétuent rien de moins que le cycle de la souffrance. Un investissement dans des solutions innovantes et durables, comme la technologie EMSELLA, semble un gage de qualité de vie susceptible d’abolir la dépendance aux produits absorbants. L’offre de cette technologie de santé urinaire en pharmacie pourrait bien représenter une avenue profitable autant pour les patients que les pharmaciens, ces derniers contribuant désormais à l’atteinte d’un bien-être impérissable.

Précédent
Précédent

EMSELLA: Comment fonctionne cette technologie révolutionnaire qui combat l'incontinence urinaire

Suivant
Suivant

Pourquoi consulter un pharmacien plutôt qu'un médecin